La Suisse lancera d'ici juin un appel à l'ONU. Il s'agit d'améliorer la prévention des conflits en renforçant la communication et la collaboration entre le Conseil des droits de l'homme et le Conseil de sécurité, a déclaré le conseiller fédéral dans un message vidéo transmis à New York depuis Genève.
Le chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a qualifié la création du Conseil des droits de l'homme de "jalon" pour les droits humains. Il a rappelé que la Confédération plaçait ces droits au coeur de ses activités en matière de politique étrangère.
"Capitale des droits de l'homme"
A ses yeux, Genève est "la capitale mondiale des droits de l'homme". Elle est au service "de la communauté internationale et des individus du monde entier", a-t-il ajouté.
A dix ans, le Conseil des droits de l'homme est encore dans son enfance. "Si nous demandons ce qui a été atteint, on peut lire la réponse dans les yeux de nombreux enfants de dix ans dans ce monde: il y a de l'espoir, il y a des progrès, mais nous avons encore beaucoup de travail devant nous", a souligné le Neuchâtelois.
Le fossé entre les activités du Conseil et la réalité de nombreuses parties du monde est considérable, a-t-il reconnu. Selon lui, les acteurs non étatiques doivent être mieux intégrés dans les activités du Conseil. M. Burkhalter a également souhaité un rôle accru pour le secteur privé.
Source
Le chef du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE) a qualifié la création du Conseil des droits de l'homme de "jalon" pour les droits humains. Il a rappelé que la Confédération plaçait ces droits au coeur de ses activités en matière de politique étrangère.
"Capitale des droits de l'homme"
A ses yeux, Genève est "la capitale mondiale des droits de l'homme". Elle est au service "de la communauté internationale et des individus du monde entier", a-t-il ajouté.
A dix ans, le Conseil des droits de l'homme est encore dans son enfance. "Si nous demandons ce qui a été atteint, on peut lire la réponse dans les yeux de nombreux enfants de dix ans dans ce monde: il y a de l'espoir, il y a des progrès, mais nous avons encore beaucoup de travail devant nous", a souligné le Neuchâtelois.
Le fossé entre les activités du Conseil et la réalité de nombreuses parties du monde est considérable, a-t-il reconnu. Selon lui, les acteurs non étatiques doivent être mieux intégrés dans les activités du Conseil. M. Burkhalter a également souhaité un rôle accru pour le secteur privé.
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